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TGV Ouest. Tous les articles de S-eau-S.

dimanche 17 juillet 2011, par Gérard Borvon

Rappel de tous les articles publiés sur ce site au sujet de la liaison Rennes-Paris à grande vitesse et du TGV Ouest.

TGV Ouest : plus vite pour qui ?

30 mai 2008. "Union sacrée autour du rail" écrivait un journaliste présent à la signature en grandes pompes de l’engagement de la région pour 1,1 milliard dans le programme "Bretagne à Grande Vitesse".

Plus question ni de droite ni de gauche, oubliées les querelles et les surenchères, chacun y va de sa tirade enthousiaste. Qui oserait encore critiquer ?

Et bien osons.


LGV Ouest : des maires se rebiffent.

"On va dépenser 2,3 milliards d’euros (hors taxes) pour gagner trente minutes sur le trajet Paris-Rennes en TGV. Pour ça on va couper ma commune en deux. Et pour rejoindre la gare-TGV la plus proche, je devrais me rendre en voiture à Rennes ou Laval."

Michel Desrues, le maire de Torcé (1160 habitants) fait ses comptes ". La nouvelle ligne TGV "n’apportera que des nuisances aux communes excentrées : environnementales, sonores..."

Le maire propose une réaction commune à ses collègues des 57 communes traversées par le nouveau tracé.


TGV Ouest : le Partenariat-Public-Privé à Grande Vitesse.

Paris-Brest en trois heures : la ligne à grande vitesse sur les rails...

C’est le sujet qui fait la une de toute la presse de l’Ouest en cette fin de Juillet 2008. La photo du jour est celle du couple Borloo-Le Drian qui n’en finit pas de se congratuler.

Bretagne et Ecologie, tel est le message qui est martelé.

A voir de plus près.


Le TGV Ouest : Tartuffe chez les socialistes.

L’affaire du TVG Ouest est sans doute l’un des plus bel exemple de double langage en politique.

Mettre Brest et Quimper à 3h08 de Paris : tel était l’objectif affiché par les élus régionaux et départementaux socialistes en mai 2008 quand ils nous engageaient dans un programme de 1,1 milliards d’euros.

Faire de Rennes une banlieue de Paris et de Notre-Dame des Landes le grand aéroport de l’Ouest parisien : telle était la réalité du projet.

Une belle arnaque menée avec la complicité des élus du grand-ouest breton qui, aujourd’hui, cherchent à faire oublier leur responsabilité majeure.


TGV Ouest. Les bretons roulés dans la farine.

"On est en train de se faire rouler dans la farine !.

Jacques Kühn, le président de la Chambre de commerce de Brest, ne mâche pas ses mots. Selon lui, le Finistère va se faire doubler dans les deux sens du terme. D’un côté, un programme de travaux ferroviaires riquiqui entre Rennes et Brest-Quimper, ne répondant pas aux exigences des « trois heures de Paris » pour les deux villes finistériennes ; de l’autre, l’accélération du projet de ligne à grande vitesse (LGV) entre Rennes et Nantes, en liaison avec le futur aéroport de Notre-Dame-des-Landes.

Une concurrence de poids dans la course aux priorités ferroviaires et donc aux financements publics.

Le propos est relevé par le journal "Le Télégramme" du 16 juillet 2009.


TGV Ouest. Ils ont voté et puis après...

Branle-bas de combat dans les conseils municipaux du Finistère.

Aux votes citoyens !

De la commune de Lanneufret (177 habitants) à la ville de Brest (145 000), Droite/Gauche réunies, partout la révolution.

Il s’agit de Brest, de Quimper et du train...


TGV Ouest et pétition des maires. Le Drian et Maille sifflent la fin de la récré.

Ils ont voté et puis après... écrivions nous après la pétition des maires pour gagner 8 minutes entre Brest-Quimper et Paris.

Bon, maintenant, ça suffit ! ont grondé Le Drian et Maille.

Et les bons élèves sont sagement retournés à leur place.